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26 juillet 2021

Taxe de 3% : changement du lieu de dépôt des engagements

Les entités qui détiennent au 1er janvier de chaque année des biens ou droits réels immobiliers en France sont redevables d’une taxe représentant 3% de la valeur vénale de ces biens ou droits.

Sont cependant exonérées de cette taxe, les entités dont le siège est situé dans un Etat membre de l’Union européenne ou dans un pays ou territoire ayant conclu avec le France une convention d’assistance administrative en vue de lutter contre la fraude et l’évasion fiscales ou dans un État ayant conclu avec la France un traité contenant une clause d’égalité de traitement et qui :

  1. Soit souscrivent chaque année un déclaration n°2746-SD comportant un certain nombre d’information (situation, consistance et valeur des biens et droits immobiliers détenus, identité des actionnaires/associés/membres de l’entité ainsi que les droits qu’ils détiennent dans l’entités dès lors que ces droits représentent plus de 1% des actions, parts ou droits de l’entité);
  2. Soit prennent et respectent l’engagement de communiquer à l’administration fiscale, sur sa demande, les éléments d’information visés ci-dessus.

Par un décret en date du 21 juin 2021, l’administration vient clarifier le lieu de dépôt de l’engagement susvisé. Il s’agit :

  1. Du service des impôts compétent pour les obligations déclaratives relatives aux impôts autres que les impôts locaux et taxes assimilées;
  2. Et, en l’absence de telles obligations déclaratives, du service des impôts des entreprises étrangères de la direction des impôts des non-résidents.

Décret n° 2021-791 du 21 juin 2021, JO du 23 juin 2021
Arrêté du 21 juin 2021, JO du 23 juin 2021

25 mars 2021
Le Conseil d’Etat juge que la taxe d’aménagement (Code l’urbanisme, art. L. 311-1) doit être acquittée sur la surface de construction créée lors d’une opération de reconstruction. Doit être qualifiée comme telle une opération comportant la construction de nouveaux bâtiments à la suite de la démolition totale des bâtiments existants. Dès lors que l’opération est […]

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20 mai 2022
Dans une décision en date du 13 mai 2022, le Conseil constitutionnel a déclaré contraire à la Constitution le droit de suite du Trésor en matière de taxe foncière qui lui permet d’appréhender les loyers d’un immeuble même s’il n’appartient plus au redevable de la taxe à la suite d’une vente. Le Conseil constitutionnel considère […]

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30 septembre 2021
Pour rappel, les opérations de nature bancaire ou financière sont exonérées de la TVA en application de l’article 261 C du Code général des impôts (CGI). Cette exonération des activités financières a pour contrepartie de ne pas permettre à ces opérateurs la récupération, totale ou partielle, de la TVA d’amont ayant grevé leurs opérations. Néanmoins, […]

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22 avril 2022
Le Conseil d’Etat apporte de nouvelles précisions sur l’assiette de la taxe d’aménagement pour les opérations de démolition-reconstruction et d’agrandissement. Dans son arrêt, le Conseil d’Etat distingue trois situations : Reconstructions faisant suite à une démolition totale : doit être regardée comme une reconstruction, une opération comportant la construction de nouveaux bâtiments à la suite […]

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30 juin 2023
Pour rappel, le régime de l’assimilation prévoit que pour, pour les besoins de la TVA, un immeuble en stock est considéré comme immobilisé lorsque, au 31 décembre de la deuxième année qui suit celle au cours de laquelle est intervenu l’achèvement de l’immeuble, il est utilisé pendant plus d’un an pour une opération relevant d’une […]

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29 juillet 2022
Statuant sur renvoi après annulation, la CAA de Paris a rendu, le 8 juillet 2022, sa décision dans l’affaire « Lupa ». Pour mémoire, dans cette même affaire, en 2016, le Conseil d’Etat avait étendu le champ d’application du correctif Quemener au calcul de la plus-value d’annulation des titres d’une société de personnes ayant fait l’objet d’une […]

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